« Anticigale »

Le tout nouveau titre de Gwendal « Anticigale » est disponible en streaming et en téléchargement sur toutes les plateformes.

L’occasion d’avoir un premier aperçu du nouvel album « Encore une fois« , dont l’enregistrement est tout juste terminé !

Découvrez-en un extrait sans plus attendre :

Les paroles de l’album « Encore une fois »

Anticigale

(Gwendal Peizerat)

J’ai fait
Mes provisions dans le froid
Danser
Sur la glace c’est bien moi
J’ai marné comme une fourmi
Et de la scène j’ai tout appris
Mon chemin n’est pas banal
Je suis l’anti-cigale
L’hiver je dansais
Si maintenant je chantais ?!
Elle est
La belle danseuse qui tournoie
On perd le Nord dans ses bras
Elle n’a jamais crié famine
Elle bosse bien plus que sa voisine
C’est pas une fille normale,
(Non, non) c’est une anti-cigale
Dans la salle elle dansait
Si maintenant elle chantait ?!
Nous ! La bise on l’a vaincue
Nous ! …ne sommes pas dépourvus
Nous ! On danse on est à l’aise
Nous ! On chante ne vous déplaise
Si vous trouvez ça banal
C’est que vous êtes anti-cigale
Hier pour danser
Et demain pour chanter
Hier pour danser
Et demain pour chanter
Fuyons les routes normales
Soyons anti-cigales
Hier on dansait
Si maintenant on chantait
Si vous trouvez ça banal
C’est que vous êtes anti-cigales
Hier pour danser
Et demain pour chanter
Hier pour danser
Et demain pour chanter

Découvrez l’album Quand elle me…

Écoutez le medley de l’album, ainsi qu’un extrait de tous les titres :

Les paroles de l’album « Quand elle me… »

1er album : Chaque morceau fait écho au titre « Quand elle me… »

… fait vivre l’aventure

THE ISLAND (Vendredi)

Tu savais plus où t’allais
Tu t’étais vraiment paumé
Sur ton île tu t’ennuyais
Aussi triste que Crusoé

Mais j’suis face à toi comme Vendredi
T’as quelqu’un à qui parler
Eh ! Mon pote pour nous tous ici
Le vrai pied c’est partager

REFRAIN

On est comme Vendredi et Crusoé
Perdus dans nos routines, nos clichés
Se rencontrer dans nos différences
The Island nous donne cette chance
On est tous le Vendredi de quelqu’un
Ne plus être seul ça fait du bien
Venez avec nous près du feu
Chanter ensemble c’est toujours mieux

On veut toujours plus, un toit, un lit
Le feu pour se réchauffer aussi
La plus belle plage pour se faire bronzer
Et des cocos bonnes à croquer

On ne veut plus de ces moustiques
De toutes ces bestioles qui nous piquent
Assez de ces nuits d’orage
De la pollution sur la plage

REFRAIN

On veut des arapèdes, des bigorneaux, des crabes, des huîtres
Des mangues, des cocos, du manioc, des moules, le tout…
Avec des frites
 (X2)
Du poisson, du poulet, un steak saignant… ou une bonne brochette de caïman.

… retrouve

48H UNE FOIS PAR MOIS (Tonton contrôleur)

Quand je pars je n’emmène rien,
Que mon doudou et mon chagrin.
À maman je lui dirais bien,
Qu’elle est vraiment partie trop loin.

Tonton contrôleur,
J’te croise quand j’retrouve mon papa.
Tonton contrôleur,
Suis-je la seule à galérer comme ça ?
Pour 48h dans ses bras, 48h… une fois par mois.

Dans ce train on ne pleure pas, on joue, on parle tout bas.
Les copains que je me fais là, tout comme moi voyagent pour ça.

Tonton contrôleur, j’te croise quand j’retrouve mon Papa.
Tonton contrôleur, suis-je la seule à galérer comme ça ?
Pour 48h dans ses bras, 48h une fois par mois.

Mais quand j’le vois, moi je suis bien.
Quand j’suis avec lui j’oublie,
Que mon départ, n’est jamais loin.
Et finalement tout ça n’est rien.
La vie est belle quand il me sourit.

Tonton contrôleur, j’te croise quand j’retrouve mon Papa.
Tonton contrôleur, suis-je la seule à galérer comme ça ?
Tonton contrôleur, tu sais t’es un peu ma famille à moi,
Ma famille à moi, ma famille à moi.

Tonton contrôleur, on se revoit la prochaine fois,
La prochaine fois, oui la prochaine fois.
Pour 48h dans ses bras, 48h… une fois par mois.

… fait danser


QUAND ELLE ME…


Quand elle me fatigue, je danse la gigue, cela l’intrigue,
Quand elle me rend dingue, j’enlève mes fringues et je danse la bastringue,
Quand elle me rend fou en me faisant des yeux doux… alors là, alors là
Je danse partout, je danse partout…

Quand elle me sourit, je danse la vie, elle apprécie, hum hum…
Quand elle me boude, mes pieds se soudent alors je danse sur les coudes,
Quand elle me rend fou en me faisant ses yeux doux… alors là, alors là…
Je danse partout, je danse partout…

La vie se danse mieux à deux, danser en solo ça peut devenir ennuyeux
Allez viens ma chérie qu’on se fasse une chorégraphie
Pour danser jusqu’au bout, jusqu’au bout de nos vies.
Jusqu’au bout de nos vies, qu’est c’que t’en dis ?

Quand elle se déshabille, mes yeux sont des billes qui brillent, et j’ai le cœur
qui part en vrille.
Quand elle pète les plombs, je remets mon pantalon et je danse comme un…,
Quand elle caresse son chat, deux fois plus que moi, je danse… le cha-cha-cha,
Quand elle me fait des yeux doux elle sait que ça me rend fou,
Alors là, alors là, je danse partout, je danse partout… oui on danse partout.

Quand elle dit des choses qui m’choquent, on danse le rock
Quand elle devient pessimiste je lui fais danser le twist
Quand nos esprits se frottent on danse le foxtrot
Quand elle me rend fada on danse la salsa…
Oui quand on s’aime, on danse partout…

…donne la vie

UN MONDE SANS HOMME

Elles ont rêvé un monde sans homme
Débarrassé de testostérone
Ensemble elles n’ont besoin de personne
Elles s’aiment, elles dansent, ça vous étonne ?

Et ils disent :
« Oh, Lalalalalalalalalalala.
Oh Lalala ces filles sont folles »
X2

Elles ont rêvé un monde sans homme
Sans misandrie, sans haine elles raisonnent
Elles réussissent, leur vie ça cartonne, et par amour
L’une dit à l’autre « Si un bébé j’te donne ? »

Ils leur disent :
« Oh, Lalalalalalalalalalala.
Oh Lalala mais vous êtes folles »
X2

Elles ont rêvé un monde sans homme
C’était compter un peu sans ma pomme
Elles me regardent, d’amour elles frissonnent
Mes deux mamans ont fait un p’tit bonhomme

Et elles disent :
« Oh, Lalalalalalalalalalala.
Oh Lala qu’il est beau notre homme »
X2

Ça n’existe pas un monde sans homme, et même si
Mon père à moi son nom c’est personne
Et tous ces débats vraiment j’m’en tamponne
Moi j’suis plein d’amour que chaque jour elles me donnent

Et j’me dis :
« Oh Lalalalalalalalalalala
Oh lala c’est beau d’être un homme »

…bouleverse
HUMANITAIRE


Pas de soirée libertine
Où sous sa blouse coquine
Elle, ce qu’elle veut c’est donner
A ces enfants sacrifiés

Huma, humanitaire
Combien d’humains sur la Terre
Huma, humanitaire
REFRAIN
Elle sait ce qu’elle veut en faire
De son diplôme d’infirmière

A peine libre elle est partie
S’envoler pour Djibouti
Habits, cahiers, médicaments
Sa valise c’est pas du vent

REFRAIN

Quelques mois, réalité
Ses beaux espoirs envolés
Pour ses yeux trop de violence
Adieu sa belle innocence

Huma, humanitaire
Tant d’inhumain sur la terre
Huma, humanitaire
Elle ne sait plus ce qu’elle peut faire
Pour pas craquer la première

Oh Marie-Camille Rivière
Où es-tu belle infirmière ?
Oh Marie-Camille Rivière
Tu n’es pas seule sur la Terre
Ne perds pas ta belle lumière.

Huma, Humanitaire
Huma, Humanitaire
Huma, Humanitaire

…transcende

LA RUÉE VERS L’OR

Jouer, lancer, glisser, sauter, frapper…mille et une façons de commencer, de s’amuser, de se faire une idée…
Et puis y retourner, mais cette fois pour se comparer, se mesurer, se tester et puis s’affronter, pour se qualifier…

Pas à pas se transformer, se muscler, s’étirer, se sculpter, se développer, s’augmenter, se former, déformés, spécialisés, bientôt prêts à performer, préparés, orientés…

Pour l’or… pour l’or, pour l’or !

Se dépasser, échouer, recommencer, recommencer, encore et y retourner, s’entrainer, s’entrainer et sans se retourner ses amis délaisser, ses parents épuiser, l’amour mis de côté, voir les autres s’arrêter, fatigués, dépassés, blessés ou déprimés… surtout ne pas les regarder… ne pas les regarder…
Pas se tourner vers le passé, surtout ne pas penser, surtout ne pas penser, avancer, avancer
Se battre sans lâcher, sans se décourager, ne pas abandonner, toujours se relever, se relever…

Pour l’or, pour l’or, pour l’or…

Et pour enfin le poing levé, gagner, porter les lauriers, vibrer, s’envoler, exploser et briller, décorés, médaillés, se voir défiler, emportés, adulés et les faire rêver, les inspirer, les voir pleurer, crier, hurler, les saluer, les enlacer, les faire se lever, communier avec eux, partager et leur donner son temps, son amitié, sa vie et ses secrets… les voir dépassés, abreuvés, débordés, fanatisés et tout casser pour ensuite… nous oublier et se ruer…

Vers l’or, vers l’or, vers l’or…